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No man's land
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25 juin 2007

Des poèmes qui nous mettent sur la voie...

Mes racines

Je me sens appartenir à tous les peuples cimes

Les cultures, les pensées les traditions de père

Et pourtant je ne me sens d’aucunes racines

Je n’en ai pas quand je regarde en arrière

A tout les contes et à l’histoire

Je me sens reliée au travers d’eux, ha !

Non séparée, je ne fais qu’un, noire

Je ne sais pourquoi je ressens cela

Je ressens, je vois sans raisons

Que le fond de tous les êtres énièmes

Malgré les langues, les religions,

Les apparences, sont les mêmes.

Indienne, inca ou égyptienne

Celtique, Mongol ou chinois

Malais, arabe ou Italienne

Je me sens partout chez moi

Ni frontières, ni lois,

Me voilà, ici maintenant libre

D’être qui je veux dans le moi,

Dans le fond de mes fibres.

Oizofu 2006

La lumière, l’énergie, le un…

Je reste connectée à l’univers,

Entre ciel et terre.

Je suis comme une jonction de ces mondes,

L’échelle d’information qui inonde.

Tel un réceptacle, je reste unie

Avec les gens que j’aborde.

Ou biens ceux de mes amis,

Le soutient d’un lien d’ordre.

Dicté par mes conseillers anges

Mon approbation est de mise !

Bien avant le début de mes langes,

C’est le programme que je me suis promise !

De réaliser pour entraider à mon niveau

Tout ceux qui se perdrait dans l’ombre.

Pour retrouver la chaleur, l’amour beau

Garder espoir pour avancer sans tombe !

Lie un , est sa source

Prier pour se rapprocher ;

L’univers est sa personne,

Rester lier, rester connecter…

Ne pas se croire séparer, ni esseulé…

Voilà le secret. S’aimer.

Oizofu 2006

Rencontre avec Lui.

Un jour, la divinité me créa et me dis, petite flamme, vas !

Qui suis-je, que faire ? La lumière environnante est trop forte,

Je ne peux voir qui je suis, mon moi…

Et si j’allais faire un stage en bas derrière cette porte ?

Cette dernière portait le nom " humanité "

Il y avait plusieurs formules et pour tout les goûts !

Cela avait l’air excitant de sombrer et puis de s’élever

Dans les méandres de la difficulté et jusqu’au cou !

Mais…à la finalité, j’aurais…un nom ?

Saurais-je qui je suis au travers de ces expériences ?

Il me faut donc des faiblesses pour apprécier le pont

Qui mènent à la qualité. C’est une évidence !

Et que dire de la haine ? Sans elle,

Pas d’amour qui vaille ?

La peur en ferait partit, mais elle,

Bouge, nous fait avancer de taille.

L’esprit, magnifique, intermédiaire entre

L’âme et le corps, j’en suis le centre.

Ho anges éternels, guides, amis de bontés,

Rassurez-moi, protégez-moi, créatures ailées.

La divinité est bonté et amour, elle apprend à travers nous.

Quand nous aurons compris qui sommes-nous,

Nous reviendrons à elle pour célébrer l’unité.

Son amour éternel pour l’éternité.

Oizofu 2002-2005

Et dans ce cœur bat une petite flamme…

Qu’importe les médisances à mon sujet,

Que les gens me voient enjouée ou pestiférée !

Douces paroles aux fleurs languissantes,

Aux flots donnés à l’inspiration mourante.

Toujours seule entre deux camps,

Où est donc celui qui ne juge pas

Sur les apparences dans l’immédiat ?

Je me tarie en pays déjà conquis

Par la bêtise et l’ignorance !

Mes capacités, mes connaissances

Passent à la trappe, tant pis !

Pourtant dans mon cœur bat une petite flamme…

Passionnée, je suis empreinte de vérité,

Qu’on me fuit où que l’on me possède

Qui m’écoute vraiment sur ce qui est

Au plus profond de moi, qui cède ?

Pour qui me bats-je, ci ce n’est

Que pour moi à me défendre

Incessamment contre les préjugés

Les moqueries et la méfiance grande ?

Pourtant dans mon cœur bat une petite flamme…

Si tout le monde m’éteint à petit feu,

Et qu’elle n’est pas ravivée

Par l’amour, la patience et la bonté,

Qu’importe, ils ne l’auront point mérité,

Sublimé, le plus grand cadeau de Dieu !

Pourtant dans mon cœur bat une petite flamme…

Qui s’évanouie tout bas.

Je ne regrette rien

C’était bien essayé,

Je sais où j’irais

Je ne vous dirais pas " à demain ".

Car, la flamme s’est envolée.

Oizofu 2007

Oniriland

Je visite des horizons lointains

Que mon cœur désire ardemment.

Ces endroits éclectiques m’attirent bien

Dans les confins du firmament.

Je ne peux voir point le passage,

Mais j’observe bien le message

Que mon être est un voyageur

Qui va haut delà de ses peurs.

Je rencontre des gens de –ci de là,

Qui viennent avec moi, puis repartent

D’autres attirent mon attention ou pas

Où je suis prête à aller ailleurs dans la carte.

Des énergies nouvelles décuplées colorés

Parfois avec des senteurs et ambiances

Nouvelles, je recréer la vie dans ma nuitée

Personne ne sait vraiment ou est passé Florence…

Je cherche encore à demi consciente

Où se trouve mon paradis, mes amis.

Mes petits guides me font dévaler la pente

De mon intérieur riche et soumis.

Pourtant par toutes ces choses, ces lieux

Que le matin, ne laisse plus rien au merveilleux.

Bienvenue matière de mes soucis concrets,

Ou toutes les saveurs se sont envolées.

Je voudrais tellement parfois m’envoler

Encore une fois et tout quitter !

Oizofu 07

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