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18 octobre 2007

Rêve prophétique et symbolique (octobre 2007)

Rêve prophétique et symbolique (octobre 2007)

Je me sens réceptive en ce moment comme si mon corps et mes pensées obéissaient à une loi invisible, mais dont j’ai fais le souhait. Plus que jamais je sais qu’à mon niveau je suis suivie, protégée, guidée, comme le disait Micheline (une grande dame qui vient de la même planète que moi des Bouddhas éveillés. Dewachem le paradis des joyaux.) je fini par croire que je subie une formation par mes compagnons invisibles.

Le fait de mincir et de m’activer me fait du bien et je me sens plus légère, le fait de me sentir libre et illimitée aussi et m’apporte beaucoup de petites joies qui compilées m’apportent le bonheur. Un bonheur que je peu faire venir sur commande c’est merveilleux, je n’ai plus à le chercher, il est partout en moi, il fait partit de moi dans l’instant que je le désire.

J’ai l’impression d’avoir touchée à une corde inédite de ma vie , réalisant l’extraordinaire de mes possibilités, de mes pensées et d’évasion, réalisant mes rêves et idéals les plus fous, je m’engage dans cette voie car elle m’appelle comme un but ultime, cette hauteur, cette grandeur cet incommensurable où je voudrais me fondre comme la divinité pour me sentir omniscient et omnipotent, ce fameux don d’ubiquité et voir tout évoluer en même temps, le jouir, le ressentir, amplifiée, je me sens un, unifiée…

Je me sens comprendre toutes choses, et certains symboles me paraissent évident et sans mystères, tout colle, tout à un sens, tout est liés, mais tout ne m’est pas donné, j’ai du chemin a faire encore, il y a toujours plus à découvrir indéfiniment car dieu est l’alpha et l’oméga et évolue toujours dans l’éternité.

J’ai compris que je ne suis pas venue ici par hasard et que chaque choses ont été parfaitement calculées .Je crois que le fait d’être femme aussi, cette sensibilité  sublimé qui dépasse le côté animal parfois de l’homme, le rythme des saisons, les menstruations, le fait de donner la vie, d’en avoir ce pouvoir.

La montagne du Canigou (66) qui me rappelle l’élévation spirituelle à celle du Tibet du mont Everest est là pour me rappeler que je suis connectée et que je dois le rester comme un phare qui me guide (j’ai toujours été passionnée par les montagnes, les hauteurs depuis enfant)… et c’est là ou je serais allée comme destination dans les moments sombre de notre histoire comme un refuge bienheureux de notre vie dans ces zones énergétiques, régénérantes, et créatrices pour amplifier les bienfaits de la sources universelle.

Là bas, seuls refuges des maîtres véritables qui n’ont pas besoin de s’afficher comme animal de foire ou de prouver qu’ils existent car là n’est pas le but de posséder tout ces pouvoirs pour se sentir supérieur, mais comme une normalité de vie qu’il convient et que nous possédons chacun et que nous devons suivre comme un idéal.

Le genre humain n’est pas encore prêt dans sa conscience mondiale à les reçevoirs comme il le faudrait. Ni à les comprendre pour certains ou a les accepter sans penser au profit matériels, mais en moi dépeint un temple de ma conscience ou je vais prier et ou mes gardiens et mes anges vont visiter autant de fois que nécessaire pour m’inspirer, veiller et me guider.

Je les aime, et je crois qu’ils le savent et me sourient à l’intérieur de moi. J’ai abandonnée l’idée de paraître folle ou illuminée, quoique l’on fasse dans la vie, il y aura toujours un motif pour juger, on y peut rien sachant que c’est propre à la faiblesse humaine, c’est déjà pardonné comme le fit jésus à l’époque. Il est un exemple de perfection. Je m’arrête parfois dans mes taches quotidienne et je perçois et j’observe tout dans l’instant, car c’est ici et maintenant que tout se passe dans l’esprit, je respire, je suis en vie, je me sens en vie, conscience de mon être en mouvance qui exprime et consacre la célébration de cette vie parmi tant d’autres que j’ai vécue pour arriver à ce que mon âme désire ardemment. Je lâche mon passé, mes erreurs, mes défaillances et ai consolidé mon temple et abolissant peu à peu mes faiblesses, mais tout en restant souple, pour m’adapter, me modeler aux choses de la vies, sans obstacles ni frontières. je reste ouverte à tout, en alerte sans stress, faisant partie d’un programme en moi, je l’ai assimilé et je n’ai plus qu’à le sortir dès que j’en ai le besoin.

Il m’a fallu un sacré parcours d’efforts, de doutes, de prise de consciences et de souffrances pour arriver là. J’ai du toucher le fond, l’abîme, la peur et la solitude et le désespoir, l’incompréhension, la maltraitance, la trahison, l’insécurité, l’abandon,  la privation, le mensonge, la manipulation, les désillusions… mais tout en chacun rien n’est impossible, à chaque épreuves on en ressort plus fort, grandit  et conscient de nos actes et de leurs répercussions ne se mettant à la place de l’autre prenant et considérant la valeur de vie de chaque choses avec respect et humilité et la plus grande de toute, l’amour !^^

Hier j’ai fais une prière avec la sincère intention de me rapprocher du moi divin, de mon affiliation divine et que je voulais être sincère et franche que je voulais y voir plus clair dans mon ascension me sentant prête de continuer un nouveau palier et où je devais me diriger à présent et qu’avais-je encore à perfectionner, et qui me stoppait.

Car tout les mots des sages me touchent je me sens parmi eux, dans ma vie de tout les jours, je rencontre des gens banneaux, mais exceptionnels par leur enseignements, juste une phrase, un geste et tout est dit.^^ Mais dans mes rêves, des obstacles me barrent la route ascensionnelle qui je sais débouchent vers quelque chose de grand .

J’ai compris que ce n’est pas eux qui m’y empêchent, mais moi, ma conscience. Il y a toujours une porte gardée par un garde fou qui faut fondre en soi pour avancer, s’élever dans les vibrations de la conscience élevée pour le dépasser, ce qui veut dire détachement de l’ego et des choses matérielles (il faut glisser à travers elle, elles ne sont qu’éphémères et disparaissent après avoir eu la fonction d’être utilisées, stockées inutilement, elles nous alourdissent.) , ainsi que nos propre valeurs à basse tension, qui ne nous traîne que dans l’illusion.

Je l’ai perçue cette vérité, mais j’ai du travail à terminer encore, j’ai pu percevoir, la grandeur, la beauté, la magnificence, l’amour de la divinité qui nous touche autour de nous où chaque parcelles, chaque briques de ce vaste temple sont parfaite, mesurées, esthétiques, logiques, symboliques, chaudes, rayonnants, et pleines de promesses, des divers des possibles de création.

Avide de courir dans cesses dans ces couloirs chargés d’énergie et de quelque chose de familier, de connaître la synthétisation, je cours partout ou ma curiosité et la passion de combler ce qui me manque ce que j’ai perdue, pour comprendre le père, pour comprendre et me rappeler d’où je viens, d’où je suis tombée, me rappeler qu’ici sur terre ce n’est pas chez moi, mais une pale copie, une Némésis, un miroir. Je suis ici avec mes frères pourtant, avec les mêmes capacité unies, mais il ne sont que réveillés encore au stade de conscience d’enfant et ils se battent pour des broutilles matérielles de non sens! Je vais raconter maintenant le rêve que j’ai fait après mon intense prière de ce soir là. Je suis convaincue que ‘Demandez alors qu’il vous sera d déjà donnée, car rien ne vient pas hasard tout est parfait’.

Je me retrouve cette fois-ci dans une école, pas dans un parc d’attraction, ni dans un train, ni dans des musées, ni à l’étranger. C’est bien une école où dans mon rêve je me suis inscrite, mais je ne m’en souvenait pas, seule la motivation comptait, le fait d’accomplir ce diplôme. On me prêta un livre, la professeur semblait sévère si nous ne possédions pas ce livre, mais dès que je l’ai eu elle s’est montrée bienveillante, désintéressée. Je ne savais pas ou j’étais, cela me frustrait, puis on me dit que la classe allait faire un grand voyage, j’étais inquiète car personne ne me répondait sur notre destination. Il me semble que l’on ai pris brièvement le train ou un long couloir ou un ascenseur je ne sais plus dans cette transition c’était étrange, et que tout le monde parlait d’un bal à peine chuchoté. Mais tout le monde s’y conformaient et l’acceptaient Bizarrement au tout début de rêve, je me retrouvais avec des étudiants puis dans la salle sombre et vaste de métal presque rouillée, humide et froide nous nous sommes agglutinés pour voir omnibulés un écran géant ou chacun regardaient dans la même direction et s’endormaient assis immobile les yeux grand ouvert à ce spectacle, et en demandaient encore comme une drogue. Je sentie que j’avais le pouvoir de contrôler cet écran de l’étreindre d’en rajouter ou de rallumer. Mais je n’osais pas montrer que je pouvais le faire, j’avais peur qu’ils m’éteignent moi aussi. Puis nous devions nous coucher, le visionnage nous avais fatigué et la salle qui était remplie d’adolescent lycéen, rajeunissait encore au point de ressembler à des enfant délurée superficiel, chacun se chamaillait pour un coussin, un sac de couchage, même moi, je ne supportais pas qu’on me vole ou que l’on marche sur mes plates bandes j’en vint à énerver contre quelques uns que l’on me disperse sans me dire ce que j’avais a faire, et on me dépouillait de tout encore plus comme dans mon enfance , mais cette fois ci j’avais gardé ma conscience d’adulte. Une petite fille me piqua ma couche, mais comprenant qu’elle était aussi endormie que les autres, je lui proposais de partager avec elle, mais capricieuse, elle refusa, même pire ! D’autre enfant finirent par se montrer agressif pour conserver leurs couches. Je les voyais sans moral, dénués de sens, avides ils se battaient comme si cela était vital, primordial et que du fait que je les réveille les gènes ensuite, je me sentais claustrophobe dans cette pièce qui ressemblait pour moi plus à prison confinée.

Je me suis mise à l’écart plus à l’écoute de moi-même que de ces enfants sans consciences .Je me promenait puis j’atterris en face d’un escalier en pierre qui montait et qui donnait sue une porte. Il me semblait avoir déjà rêvé ces lieux. Un moine bouddhique vivait là, j’entrais, il apparut avec sa toge orange et me souhaita la bienvenue avec le sourire. J’avais besoin de voir un adulte sur qui me confier, je souffrais de colère en moi qui débordait, j’étouffais je voulais me libérer de cela.

Il me dis bonjour normalement comme s’il avait toujours reçu des gens chez lui, il me bénie d’entré en me recouvrant d’eau la tête pour me purifier. J’avais tellement de choses à lui dire, mais il ne sortie que de ma bouche que des banalités, je voulais aller au fond des choses, je ne m’en souvenais pas et quant au moine, je ne sais pas si j’abusais de sa confiance et de son temps mais il souria comme pour dire que certaines choses doivent se faire et se passer, car tout est parfait dans la plan divin. Je me rappelle que derrière sa chambre, il y avait un escalier qui menait chez d’autres frères spirituels d’où il venait aussi. J’ai eu l’impression, la nette sensation que j’étais déjà venue ici et que ceci m’était familier, même que j’avais passé cette porte haut dessus étant enfant. Mais je ne sais plus pourquoi des objets banaux de tous les jours décoraient son ancienne salle de méditation, de réception et d’accueillement, comme si lui aussi avait baigné dans la matière. Je me souviens avoir rêvé de lui il y quelques années. Soudainement ma mère rajeunie arriva et s’empressa de me voir sans trop me laisser le temps de lui parler. Elle s’inquiétait surtout pour moi. Je ne savais plus que faire, je vis à cotée une autre porte ou j’avais le sentiment que ce moine en gardait la clef, une espèce de jardin et de chapelle gardé par une grille que l’on m’interdisait de franchir quand j’avais fait ce rêve enfant. D’après ce que je sais, c’était là ou se déroulerait le fameux bal et c’est là ou j’avais l’impression que cela se terminerait et que nous ne serions pas indéfiniment enfermés dans cette grande salle sombre et noire.

Soudainement, je vie que la fête commença , des confetti, des pétales de fleurs, les gens se levèrent ,les enfants y compris, concentré dans cette procession, puis finalement c’était de moi qu’il en était question. Un mariage où un homme vint me prendre la main pour m’emmener dans une union magnifique, une dame se tenait à l’arrière, imposante, mais belle, je sentais que c’était la mère du jeune homme, elle m’offrait souriant des parfums de fleurs que j’embrassais pour remercier. Nous primes ensemble le chemin dans un lieu ou il y avait de l’eau , couleur pastel et de calme, énergie étrange, image illimitée et sans fin, il ne faisait plus froid que du doux et du onctueux. Là, s’élevait au milieu de l’eau une plate forme. Il marcha sur l’eau, moi je m’enfonçais encore. Il ne m’aida pas il fallait que je le fasse seule. Je réussie tant bien que mal par la pensée à me sortir de l’eau et à grimper plus facilement sur la plate forme….Ainsi je ne sais pas , déboucha un autre rêve de non sens que j’estime ne pas être important en symboles. Ce qui me toucha, c’est qu’il avait pleins de salle de cinéma et un pub ou je rejoignais mon énigmatique compagnon avec des amis à lui accoudées à cette table de café, ils montaient et démontaient des armes, des revolvers, ce qui me choquait un peu, de ce fait je m’arrêterais là.^^

Pour moi ce rêve st riche en symboles. Je commence nue en apprentissage, je n’ai pas encore amorcée ma recherche spirituelle, mais elle a toujours était avec moi comme un radar d’où le livre qui est un code, un pass pour commencer. C’était une femme professeur, pas un homme, c’est pour signifier l’élévation des choses primaires du mal, on reçoit, on créer. Ensuite tant bien que mal les aléas de la vie dans la naïveté et l’inconscience finissent par amorcer cela emporté par des événements incompréhensibles qui nous amène à douter, à expérimenter, à poser des questions puis à trouver par soi-même parfois même par un retrait et l’esseulement pour les réponses. C’est loin du tableau que nous pouvons voir toute sa grandeur et sa beauté. Le fait que mes compagnons rajeunissaient explique le fait que je grandissais à l’intérieurement au niveau de l’éveil. Et que cette grande salle vaste et noir signifie la projection de nos pensées ou nous avons créer un cercle fermé omnibulé par des films illusions de notre vie qu’il faut se détacher car nous avons tout le pouvoir de la contrôler en décidant que tout cela s’arrête, mais nous restons endormis dans la matière, nous restons figé à ne pas pouvoir décupler nos capacités, chacun demandant à rester dans son train train limitée endormis par leur possession qui les trompes. Le fait de m’être réveillé, mais aussi le fait de m’être énervé à cause de ce qui aurait put être perçue comme une aubaine de faire les choses autrement, je l’ai mal interprété par la colère parce que j’avais encore quelque chose a perdre, rattachée encore par cette matérialité illusoire .J’ai compris à travers ce rêve que j’ai encore beaucoup de colère en moi que je dois apaiser d’une manière ou du autre, mais avant cela je me dois de la trouver . Que je devais aussi non plus partager, mais laisser tomber ces manteaux trop lourds qui me retiennent et qui manifeste chez moi des comportement négatifs au lieu d’oser  e lâcher prise et de penser et parler par amour dans le détachement, car nous sommes tous frère ce que je te donne, je fini par l’avoir aussi car nous sommes tous un dans cette piece. J’aurais du avoir la compassion et la compréhension, qu’on ne pouvait en vouloir a ces jeunes gens encore endormie dans la matérialité que le fait de montrer les dents de leur part n’était aucunes menaces pour moi, mais juste le fait qu’ils défendaient ce qui croyaient être leur seul bien, leur seul repère( :etour au père.) leur esprits sont leurrés,leurs esprits sont malades et mal guidés, car même en essayant de les guidesr, ils refusent de bloc, de ce fait, n’étant pas prête je me suis retirée pour rechercher la perfection du divin en moi dans mon coin , mon parcours personnel en dehors de cette masse ou l’on ne perçois plus rien. Sachant que j’étais encore imparfaite, j’ai rejoins en pensée un ancien maître que j’ai connue jadis dans mes rêves d’enfants et que j’avais oublié jusqu'à lors. Mais je me suis rendue compte que même les maîtres ne sont pas une référence, car tout peut encore bouger et basculer, et qu’il y a encore des porte à franchir vers le haut, qu’elle happe pour nous dépasser dans nos limites, mais que sans la bonne clef nous n’y avons pas accès, et là de nouveau en perdition et en doute, la mère, disons la matérialité venant d’un bon sentiment nous ramène dans cette chambre noire qui reflète aussi la sécurité, la stabilité du traintrain des jours ordinaires. Mais étant revenue avec la clarté de l’esprit saint dans sa compréhension totale, les gens se sont levés , comme une ondée, j’étais prête et je leur ai donné comme une lumière éveillé et touchés par cette grâce, ils ont fait la fête de l’union de l’esprit christique qu’il y avait en moi et en eux sous la protection de sa mère la vierge marie qui symboliquement me faisait comprendre que la fleur en moi s’était épanouie, prête à recevoir comme une antenne la création et que sous forme de parfum j’en avait distribué l’essence et aussi pour l’avenir, car pour moi, ce symbole est très fort puisque je m’appelle Florence Salvadori. Qui pourrait se traduire et se comprendre :’La fleur épanouie salvatrice.’ Rien ne vient pas hasard, tout était dans le chemin, pierre par pierre.

Ensuite j’ai rejoins avec mon ‘époux’ le seuil de l’éternité, l’unité de la plate forme, mais j’ai encore douté au point de ne pas avoir su marcher sur l’eau, comme pour montrer que nous sommes encore des être en apprentissage en tout lieux et tout temps, qu’il n’y a pas de fin, mais une éternelle continuité. Mais malgré tout il fallait que je fasse cette ascension seule pour réussir sur mes défaillances sous l’œil bienveillant de mon ‘époux qui se trouvait en haut et avec moi en même temps’, ayant fusionnés dans la parfaite lumière, j’ai réussie à m’affranchir de la matière, et c’est mes pensées créative, croyant qui ont fait de cette création une bénédiction salutaire.

Ensuite après avoir analysé avec lui ce rêve (Yezalel, mon ange gardien qui me suit partout…^^), j’ai posé le matin même une question à celui-ci :’ comment me débarrasser de cette colère tellement enfouie en moi ?’ , et il m’est venu l’image de ce moustique qui m’avait piqué la main, le veille en promenant Plume, il était presque arrivé à sucer mon sang, mais le mal m’a avertit de cette créature et je l’ai chassé. J’aurais pu l’écraser aussi, mais j’ai compris qu’il n’a fait ce qu’il était sensé faire dans sa logique, tout est perfection. Vivons avec, ni sur ou sans. Soyons des gardiens l’un l’autre. Mais aussi je pouvais choisir de ne pas accepter cette douleur comme un cadeau envenimé et l’oublier comme une épreuve de ‘peau finement ‘de perception..

Notre ascension est des plus normal après notre chute, seulement nous ne sommes pas fait pour stagner dans la matière, mais de retourner à l’héritage du père dans des hautes vibrations de vie d’amour de lumière, d’éternité et de paix. Nous ne sommes pas fait pour vieillir, se perdre, mais pour durer, soigner… Ils existent des personnages issues de la source parfaite qui font circuler sa volonté à travers eux en faisant circuler l’énergie des choses subtiles et de toutes matières, la pensées, la nourriture et l’argent en font partit si on abandonnes son être et que nous donnons plus sincèrement pour aider notre prochain, l’abondance et la liberté illimité vient vers nous. Nous sommes épaulés par les êtres de lumières, des sages, et toutes sortes de créature subtiles, éthéré et parfois incarné matériellement selon leur choix, à la connaissance et à la magnificence éternelle. Et tout cela est a notre porté pour celui qui comprends qui se relève qui prends conscience qui l’assimiles, qui le relègue, car chaque choses n’ont pas besoin d’être cumulées, il suffit de faire confiance à la vie à la source sans peurs, ni doutes, ni séparations que ce soit, l’eau, l’air, le feu, la terre font de la quintessence, le côté divin de nos êtres. Nous sommes entourées par lui par les manifestations de la nature, physique et quantique, le chant, le dessin, la musique la philosophie, l’histoire et la psychologie, les symboles, l’ésotérisme, les religions, tout est lié à lui , et revient à lui comme une grande roue cosmique qui repends, renouvelle et essaime. Nous sommes sont miroir, nous sommes son âme, nous faisons partie de lui et nous pouvons apporter grandement le bien dans la célébration de notre vie à chaque moment, à chaque paroles et actions, nous bénissons le très haut d’avoir exaucés nos souhaits s’incère de s’élever vers lui et parmi nos frères.

Parmi tout les initiés, les maîtres qui sont venus pour nous pas pour les idolâtrer, mais pour suivre le chemin de leurs actions, leurs exemples pas plus surprenantes que nos vraies capacités. Notre parole est faite de pouvoir elle peut créer autant qu’elle peut assujettir, voilà le libre arbitre que nous a donné le seigneur de la source et chacun prends le rythme qu’il lui faut pour se reveiller. La marche vers le très haut ne signifie pas que la perte des biens, de sa vie ou bien de sa personnalité lorsqu’il revient au centre, mais bien une réalisation de soi qui dépasse notre entendement, un bonheur incommensurable de savoir que nous sommes des êtres libérées des créations, des fantômes de notre conscience qui nous ont fait ramper sur la surface de la terre depuis des milliers d’années. Ne plus se soucier du lendemain, ne plus avoir peur, faim ou froid, ne plus être malade, ne plus être exploité ou se fendre à la tache, tout ce que nous demandons seras exaucé , car nous sommes des être parfait de bonté et de lumière divine.^^

Bien sûr beaucoup de gens sentent cet appel et prennent différents chemins pour y arriver, mais ils ont pris le côté des apparences et non de la morale profonde, le message véhiculée et de ce fait s’attachant à ces bribes du passée ils se perdent encore en ne démordant pas leur croyances, sans se renouveler, ni se mettre en question pour se recréer vis-à-vis de cela puisque nous vivons notre vision, puisque nous vivons nos croyances et nos créations.

(L’ange prend la parole)Vous êtes des êtres créateurs à petite échelle, pour arriver à nous ils n’y a pas de détours seulement écouter son cœur, sa conscience, la simplicité des choses que l’on laisse entrer en soi sans contrôles, ni barrières, que la volonté de dieux soit faites comme sur la terre et dans les cieux. Demandez et l’on vous donnera avant même que cela se réalise, cherchez, et frappez et l’on vous ouvrira. Soyez dans la gratitude et l’accomplissement de soi. Bénie soyez vous créatures du ciel et de la terre, le rappel est imminent, restez à l’écoute, et votre bonheur en sera plus éclatant, vivifiante la libération est proche mes enfants.

Texte inspiré des êtres de lumière, traduit par l’intermédiaire de la petite flamme qui se cherche de tout son coeur à se défaire de ses chaînes illusoires.

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