Des nouveaux poèmes.
En ce moment je suis très inspirée.Tournée vers moi-même dans le sens de mieux me connaitre et vraiment comprendre ce que je ressens depuis toujours , mais que je n'ai pas réussie à m'avouer ou à exprimer.Aujourd'hui je n'ai nulles hontes à le diffuser, car mon mal extirpé, je m'en suis libérée...^^
Echappatoire Divin
Dans cette nuit noire
Où les gens passent
Comme déambulatoire,
Ce territoire est leur valse.
Je voudrais aussi m’évader de tout coeur,
Fondre dans ces rues,
Aller en terre inconnue
Ou je pourrais disparaître dans un ailleurs.
Mais les pierres restent figées.
Je ne pourrais pas m’en aller
Vers mes lieux d’utopies
Où j’aurais pu reprendre vie.
Le passage est fermé.
J’ai oubliée la clef.
Je reste enfermée
Dans cette prison glacée.
En laissant s’échapper
Une nouvelle fois
La belle nuitée
Qui m’avait invitée, moi.
La belle prisonnière
Qui ne veut ressembler
A personne, ni à rien en fait,
Juste déplacer ces pierres.
Pour apercevoir un passage nouveau.
Un pays où fusionner et illuminer
Se sentir le monde sans préjugés.
Telle une information, souffler le beau.
Car pour moi, ma vraie mère,
Ma vraie vie est ailleurs …
Faites d’amour et de lumière ?
Où chaque instant est félicité !
Oizofu 2007 Je les aime ces gemmes. Petites pierres qui roulent Emoussées par le temps, Se concentrent pouvoirs qui déboulent Ces formes chauffés à blanc. Petites pierres, petites pierres, prêtez nous votre énergie ! A différentiels couches gazeuses Etats, compositions énergisantes, Voici les gemmes précieuses, Aux milles petites couleurs attirantes. Petites pierres, petites pierres acceptez nos prières comme offrande ! Douces formes polies Par un état brut inouïe, Tels des gardiennes aussi Aux pouvoirs qui guérie. Petites pierres, petites pierres, permettez nous de vos protéger en retour ! Calmes et énergisantes, Cristal, émeraudes bienfaisantes Nourries de mère la terre Gaia Par ses élans, ses colères, hélas ! Petites pierres, petites pierres, rends grâce à la terre ! Dans le chaos prenez vie De ces derniers, les larmes De son sein matérialisé, Le bonheur des chamanes. Petite pierres, petites pierres, rends grâce à ces voeux, Accorde nous ta protection Combinés pour décupler Sous la lune ou le soleil Rechargées, épurées par le sel Et l’eau toute une nuitée. Petites pierres, petites pierres…Que la pureté monte au ciel. Oizofu 2007 Un autre monde Je vis dans un autre monde infini, Où les maisons s’enchevêtrent sans limites D’entrées ou de sorties Et ou les gent cohabitent, communiquent… Des maisons encastrés, Bien étudiées, diversifiées, De la longueur à la hauteur, bien designées, Belles et romantiques citées ! Les gens vivent comme vous et moi Ont des activités, des rêves… Il y a ces nomades, des compagnons, des sages roi, Et des chemins à parcourir sans trèves. Tout est plus grandiose, créatif, Enrichissant, détaillé, Un grand sentiment de liberté Piqué au plus vif De nos passions, de nos désirs inavoués, Je sais que j’ai passée l’entrée, Le passage du rêve terre A la vrai réalité de l’hétère… Notre monde humain N’est qu’une prison illusoire, Où le karma joue dans nos mains Car rien ne dure ici, il faut le savoir ! Que Gaia n’est pas seule elle aussi, Qu’elle à beaucoup d’amies Eparpillées dans l’univers Servant de réceptacles aux être chers Qui désire évoluer, et dépasser La matérialité Avant de se reposer Dans l’autre monde aux rives dorées. Il n’y a pas de limites à la vie ! Dans l’instant, tout se vie, se créer ! Nous sommes là pour apprendre aussi ! Le bonheur et notre vrai soi, inné, Que nous avons oubliés, et qu’il va falloir retrouver ! Oizofu 2007